dimanche 29 juin 2014

Y a-t-il un genre pour le multitâche ?

Les femmes sont-elles meilleures que les hommes au multitasking?


C'est ce que pensent beaucoup de gens (les femmes en particulier, je ne suis pas sûr que les hommes en soient conscients eux-mêmes...).

Il faut dire que cette croyance populaire a de quoi s'auto-alimenter quand on voit la double vie <travail/famille> que beaucoup de nos compatriotes féminines sont amener à gérer. De fait, et ce n'est pas une supposition, les femmes sont majoritairement plus impliquées dans des activités multitâches que les hommes. Mais cette surexposition aurait-elle un lien avec une capacité supérieure de la gent féminine à gérer le multitâche ?


jeudi 26 juin 2014

Investissez dans le tutorat !

Par François Gabaut
Pour en savoir plus sur François :  http://www.viadeo.com/profile/0022alplawfl6ben?nav=1&navContext=002es16t8ueii4p&consultationType=27

Le tutorat est un investissement pour l'entreprise. Il représente un gain et un coût. Gains et coûts ne sont pas toujours facilement évaluables. Ce premier article d'une série propose une réflexion sur cet aspect du tutorat. D'autres articles suivront pour approfondir cette question que toutes les entreprises se posent légitimement :  quel est l'équilibre entre ce que le tutorat nous apporte et ce qu'il nous coûte ?


1. Coût du tutorat


Partons de l'investissement et des coûts du tutorat. Du recrutement à l'accompagnement, le tutorat est un investissement pour l'entreprise que l'on peut décliner en différents postes et chiffrer avec plus ou moins de facilité :

  • Le coût du recrutement spécifique aux alternants. Les services RH se mobilisent pour recruter et associent parfois les managers et les tuteurs qui vont accueillir les nouveaux entrants dans leur service. On évalue le recrutement d'un alternant à plusieurs heures de travail auxquelles s'ajoutent la définition du profil et le sourcing. Le chiffrage se compte en heures de travail auxquelles ont ajoute les coûts des supports de communication.
  • L'embauche d'un alternant, c'est aussi un temps dédié à la complexité du dossier administratif : Déclarations à la DIRECTTE, contrat de travail, déclarations URSSAF, visite médicale, convention de partenariat avec les écoles. Ces tâches réalisées par les services RH se comptent également en heures.
  • Les alternants sont souvent conviés aux journées d'intégration des nouveaux entrants, journées qui se chiffrent en heures de travail lorsqu'on fait intervenir des responsables de services, en prestation d'un cabinet extérieur pour les animer, en frais de restauration d'hébergement, de transport, de restauration.
  • Les tuteurs bénéficient parfois d'une prime qui s'élève selon les entreprises, autour de 300 € annuels. La reconnaissance des tuteurs va figurer dans la grille de l'entretien annuel.
  • Il ne faudrait pas oublier les heures de tutorat sur le terrain, le temps passé par le ou les tuteurs à accompagner le jeune, un temps qui n'est pas consacré à la production et qui se mesure difficilement : temps de briefing, d'écoute, de pédagogie, de remplissage du cahier de liaison, de débriefing, de correction des erreurs, temps passé à recevoir le tuteur école, aux déplacements dans l'école, aux jury d'examens, etc.
  • Ne pas oublier les formations internes ou externes qui répondent aux besoins de compétences de l'alternant. Selon la complexité du métier exercé par ce dernier, il faut souvent lui proposer des formations qui lui permettent de tenir son poste, formation à la sécurité, réponses aux obligations légales, habilitations, etc.
  • Quid du temps passé à la création d'outils : Le tuteur a besoin de  créer tout un matériel de support : un tableau de bord, des grilles de montée en compétences, des outils de validation des acquisitions.
  • Il faut également intégrer le coût de la formation des tuteurs, un ou deux jours selon la disponibilité de ces derniers. Une formation non obligatoire sauf pour certaines branches, indispensable et renouvelable tous les cinq ans environ mais qui peut se monter entre 500 et 1000 €.
  • Même si l'alternant n'entre pas dans les effectifs, il bénéficie des avantages sociaux comme tous les salariés en contrat : CE, mutuelle, intéressement et plan d'épargne, tickets restaurants, aides au logement.
  • Et puis naturellement, il faut intégrer dans ce calcul les coûts directs liés au salaire, avec ou sans charges selon le type de contrat (d'apprentissage ou de professionnalisation).

2. Abordons maintenant les gains ou retour sur investissement



  • A propos des coût de la formation des tuteurs : certain Organismes Paritaires Collecteurs Agréés prennent en prend en charge, dans la limite de 15€ maximum x 40 heures (soit un plafond de 600€), la formation des salariés appelés à encadrer en tant que tuteurs des personnes en contrat de professionnalisation, période de professionnalisation ou contrat emploi d'avenir.
  • A propos des coûts liés à l’exercice de la fonction tutorale : les OPCA apportent à l'employeur une aide à l’exercice de la fonction tutorale. Cette aide est versée dans le cadre de la mise à disposition d’un tuteur pour encadrer la personne en formation. Elle est calculée sur la base d’un plafond mensuel. Il ne s’agit pas d’une prise en charge d’heures de formation mais d'un financement des dépenses liées à l’exercice du tutorat. Cette aide peut varier entre 1380 € et 2070 € selon le profil du tutoré.
  • A propos des charges salariales de l'alternant : selon le type de contrat, les charges sont plus ou moins remboursées par l'Etat. Des primes peuvent réduire le coût salarial, primes de présence de l'alternant, primes à l'embauche, primes liées au "contrat de génération". Des aides sont parfois proposées par les régions
  • A propos de l'activité du tutoré :
    - Pendant son apprentissage : de nombreuses entreprises "rentabilisent" le tutorat en confiant à l'alternant une véritable activité objectivée dans les résultats globaux du service et de l'entreprise. Elles s'inscrivent dans une relation "gagnant-gagnant : nous formons à un métier et le jeune produit pour le profit de tous". Parfois, ce dernier perçoit une prime et des parts variables diverses sur les ventes. Personne n'y voit à redire à condition que l'on n'oublie pas qu'il est là pour être formé et qu'il a un diplôme ou une qualification à passer à la fin de son alternance.
    - A l'issue de son apprentissage : le recrutement d'un alternant à l'issue de sa période d'apprentissage, lorsque cela est possible, représente un bénéfice considérable pour l'entreprise. Ses compétences, même si celles-ci restent à approfondir, sont souvent nettement supérieures à celles d'un recrutement extérieur. Cela aura par aileurs facilité l'assimilation des connaissances pendant la période d'apprentissage, l'appropriation des savoir-faire transmis par le tuteur, l'intégration des valeurs, des comportements attendus, des attitudes "corporate". Le temps consacré à l'intégration, à la connaissance du contexte a été réalisé durant l'apprentissage. Le jeune salarié est alors opérationnel immédiatement.

On voit bien que l'équilibre entre gains et coût est sans commune mesure du côté du bénéfice.  Dans un autre article j'aborderai plus en détail les aspects salariaux de l'alternant ainsi que les différentes aides financières associées.

mercredi 25 juin 2014

Rappel : Messidor - 19 juin au 18 juillet

Le mois de messidor était le dixième mois du calendrier républicain français.
Il correspondait, à quelques jours près (selon l'année), à la période allant du 19 juin au 18 juillet du calendrier grégorien.
Pour les détails :  Messidor


Bon Messidor à tous !!!








Liens vers les mois républicains sur le blog :

mardi 24 juin 2014

Multitâche ? Non merci !!

Le multitâche n'est pas adapté au fonctionnement de notre cerveau


Il est parfois difficile de se rendre à la raison. Pourtant, c'est la science qui va nous y ramener : il semblerait que notre cerveau soit incapable de gérer plus deux choses à la fois (et c'est déjà beaucoup !).

Les recherches en ce sens tendent à converger dans le même sens. Parmi celles-ci, il y en une que nous devons à des scientifiques français de  l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale (Inserm) menés par le Dr Étienne Koechlin.

samedi 21 juin 2014

Histoire du mois de juin

D'après Wikipedia : Juin est le sixième mois des calendriers grégorien et julien. 

À l’époque antique, c’était le quatrième mois du calendrier romain (car l'année commençait au mois de mars, comme vous ne l'ignorez plus maintenant).

L'origine du mot juin est controversée. Selon les uns, le mois tirerait son nom du latin junius, donné, selon Ovide, en l’honneur de la déesse romaine Junon. Une autre étymologie possible est junius (mensis), le mois de Lucius Junius Brutus, le fondateur légendaire de la République romaine. Enfin, une troisième interprétation explique juin par le latin juniores, jeunes gens. A noter que, en vieux français, il s'écrivait « juing ».

Il ne vous a pas échappé que les jours augmentent sérieusement en ce début juin, jusqu'au solstice d'été le 21 juin. 
Dans beaucoup de pays de l'hémisphère Nord, des fêtes avaient lieu à cette époque de l'année. On fête encore la Saint-Jean par des feux de joie lors du solstice d'été dans de nombreuses provinces en France.

mercredi 18 juin 2014

1er anniversaire pour Pragma-tic

18 juin 2014 - un an déjà pour Pragma-tic !


Un an, cela compte pour un bébé blog. Cela mérite bien de revenir sur le chemin parcouru.


Retour sur image



Tout d'abord, ce sont plus de 146 articles qui ont été publiés depuis le lancement, avec une régularité satisfaisante même si certains mois très occupés ne nous permettent pas forcément d'être aussi présents que nous le voudrions.

L'équipe des contributeurs s'est enrichie (nous sommes trois à publier régulièrement), et le compteur se décline comme suit pour les 146 articles publiés :
  • Efficacité et gestion du temps : 96 articles
  • Tutorat et pratique de formation : 8 articles
  • Confort au travail : 8 articles
  • Evernote : 16 articles
  • de tout un peu : 18 articles

La fréquentation du blog a également suivi. Nous sommes très fiers des 24000 pages vues en un an : merci à vous, lecteurs, pour l'attention que vous nous accordez !

Demandez le programme !


Cette deuxième année devrait être celle de la consolidation, et aussi celle de l'évolution. Il est difficile de s'avancer sur les développements à venir, mais il y quelques axes de travail :
  • Nous devrions faire évoluer l'habillage du blog, avec une évolution de l'interface et du design.
  • Nous aimerions également intégrer de nouveaux contributeurs et développer des thématiques sur lesquelles nous sommes très engagés et avons beaucoup de choses à dire.
  • Au titre des souhaits, nous souhaiterions également que l'ergonomie du blog permette plus facilement l'expression des réactions des visiteurs, c'est un chantier qui devrait nous mener vers plus d'interactivité.
N'hésitez-pas à réagir, vos avis nous intéressent, et encore merci à tous !

mardi 17 juin 2014

Rappel : Prairial - 20 mai au 18 juin

Le mois de prairial était le neuvième mois du calendrier républicain français.
Il correspondait, à quelques jours près (selon l'année), à la période allant du 20 mai au 18 juin du calendrier grégorien.
Pour les détails :  Prairial


Bon prairial à tous !!!



Liens vers les mois républicains sur le blog :

lundi 16 juin 2014

Mai 2014 sur Pragma-tic

Ce mois de mai aura été bien occupé ! Ceci expliquant cela, nous aurions aimé être plus actif sur le blog, mais pas moyen de faire autrement.
La qualité compensant la quantité, vous trouverez de quoi vous rattraper si vous avez manqué le film.
Bonne lecture !


Gestion du temps 


Tutorat et pratique de formation


De tout un peu 

dimanche 15 juin 2014

Tutorat et transfert des compétences - le cas de l'apprentissage

Par François Gabaut
Pour en savoir plus sur François :  http://www.viadeo.com/profile/0022alplawfl6ben?nav=1&navContext=002es16t8ueii4p&consultationType=27


Le transfert des compétences, pierre angulaire de l'apprentissage

Nous publions ici un article écrit par un spécialiste de la question : il s'agit de Philippe Legouge, professeur de gestion au Centre de Formation d’Apprentis de la Chambre de Métiers et d’Artisanat de Seine-et-Marne, coordonateur pédagogique du Pôle Vente-Commerce.

Le savoir-faire, spécifique et rare, est au cœur de l’entreprise artisanale, pour mener à bien des tâches mettant en œuvre essentiellement l’habilité manuelle et la dextérité. Les gestes sont issues de pratiques ancestrales, ils sont reproduits par la formation en apprentissage.


L’apprenti bénéficie d’une formation théorique au CFA pour l’acquisition du savoir, qu’il complète par l’expérience sur le terrain.



C'est le principe de l’apprentissage.
La compétence s’acquiert en mettant en pratique un savoir. L’apprenti ne nait pas compétent, il va le devenir en développant son savoir-faire au sein de l’entreprise, en répétant les gestes de base appris au CFA, et en observant son maître d’apprentissage. La dimension paternaliste de l’entreprise artisanale est très prégnante. Le travail en équipe, le savoir-être, la complémentarité des connaissances garantie à l’entreprise un savoir-faire unique.

En général, l’apprenti reste dans l’entreprise à l’issue de son apprentissage. Ce qui pose la question de la transférabilité des compétences d’une entreprise à une autre.

L’apprenti est un salarié de l’entreprise à part entière. A ce titre, l’employeur doit lui communiquer les mêmes informations qu’aux autres salariés et le faire bénéficier des mêmes avantages.
L’apprenti doit effectuer des missions ou des tâches conformes à la progression définie lors de la conclusion du contrat.

Dans les CFA, l’élévation générale des niveaux de diplômes se généralise, le Certificat d’Aptitude Professionnel (CAP) ne suffit plus. Le CAP forme l’apprenti à la maîtrise des gestes liée à une activité, de plus en plus les entreprises ont besoin des jeunes maîtrisant différentes compétences à travers différents métiers. La demande est forte également en ce qui concerne la maitrise de différents savoirs : savoir, savoir-faire, savoir-être, faire-savoir. Pour répondre à cette demande, les Brevets Professionnels, les Bacs Pros et les Brevets de Maîtrise, en plein développement, vont offrir à l’apprenti une large palette de savoirs liés à la technique, la commercialisation, la gestion d’entreprise, la formation. A lui de les mettre en œuvre au cours de sa carrière professionnelle, au gré des opportunités.


Maître d’apprentissage et accompagnement de l’apprenti


La personne directement responsable de la formation de l’apprenti et assumant la fonction de tuteur est dénommée « maître d’apprentissage ». Il est le référent de l'apprenti chez l’employeur. Il l'accompagne tout au long de son contrat d’apprentissage, le guide, le conseille. Salarié de l’entreprise, le maître d'apprentissage en liaison avec le centre de formation contribue à l'acquisition par l'apprenti des compétences correspondant à la qualification recherchée et assure un suivi pédagogique.

Ainsi, le maître d'apprentissage doit pendant toute la durée du contrat d’apprentissage, permettre à l’apprenti de développer ses propres capacités professionnelles et suivre son évolution professionnelle et scolaire. Pour cela il doit se rendre disponible pour accueillir et guider l’apprenti. Il doit organiser avec l’apprenti son activité et veiller à son suivi. 

Grace aux nombreuses situations de travail en entreprise, le maître d’apprentissage contribue à l’acquisition par l’apprenti de compétences et d’aptitudes professionnelles nécessaires à la qualification recherchée, au diplôme préparé et à l’exercice du métier.

Il doit encore assurer la liaison avec le CFA et s’informer du parcours de formation et des résultats obtenus par l’apprenti. Il donne de la cohérence entre les enseignements théoriques du CFA et la pratique en entreprise. Enfin, il peut évaluer, en entreprise, l’acquisition des compétences professionnelles de l’apprenti et le préparer sereinement à son examen.


Comment choisir le maître d’apprentissage ?


Le maître d’apprentissage doit être titulaire d’un diplôme (ou titre) au moins égal à celui préparé par l’apprenti, ainsi que d’une expérience professionnelle de 3 ans en relation avec la qualification visée par ce diplôme ou ce titre. S’il n’a pas ce diplôme, il doit avoir une expérience professionnelle de 5 ans en relation avec la qualification préparée et un niveau minimal de qualification déterminé par le comité départemental de l’emploi.

Une formation préalable doit permettre au tuteur de connaitre l’environnement réglementaire du contrat d’apprentissage, d’acquérir des compétences nécessaires à la transmission efficace de ses savoir-faire et d’appréhender sa fonction de formateur.
Sont également requises des qualités morales, professionnelles et pédagogiques.

Il est préférable de prendre un salarié qui soit volontaire et qui ait envie d’assurer une mission de tutorat. Pour tenir pleinement son rôle de tuteur, l’employeur doit dégager du temps au maître d’apprentissage pour l’accompagnement individualisé de l’apprenti et assurer la liaison avec le centre de formation.

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Philippe Legouge est professeur de gestion au Centre de Formation d’Apprentis de la Chambre de Métiers et d’Artisanat de Seine-et-Marne, et coordonateur pédagogique du Pôle Vente-Commerce.





Pour en savoir plus sur Philippe : http://www.viadeo.com/profile/002bkg9nq5iz4gs?consultationType=24&sKey=i1bvaes2_ij0v6d_d1xsc1&nav=1&ga_from=Fu:/general;Fb:quick-search-bar;Fe:profile;#

Nouvelles technologies, téléphone, mail - qui contrôle qui ?

Etes-vous aux commandes ou vous faites-vous commander ?


Quand le téléphone sonne, que faites-vous ?

Si vous êtes comme beaucoup d'entre nous, il y a peu de doutes que vous allez répondre, quelle que soit votre activité en cours.

La même question s'applique à la gestion de l'e-mail au bureau : que faites-vous quand s'affiche sur le bureau de votre ordinateur la fenêtre pop-up qui vous signale "Vous avez du courrier !" ? Résister à la tentation de jeter un coup d'œil au message arrivé relève de la mission impossible pour un grand nombre d'entre nous.

jeudi 5 juin 2014

Ces entreprises (Top) modèles de confort

Déroulé de tapis rouge. Sortez vos flashes !

Voici un petit défilé des sociétés les plus hype en matière de confort au travail. Garanti soyeux et plus qu’agréable, tendances toutes saisons, une mode à copier sans modération !


Quand on sait aujourd’hui qu’une entreprise ne fonctionne pas sans ses employés, et que pour garder leur motivation, ces derniers ont besoins d’être chouchoutés ; 
quand on sait qu'avec les enjeux toujours plus grand, les problèmes économiques ou psychosociaux, les burn-out et autres, qu'il est vital aujourd’hui de savoir rendre nos journées de travail le plus agréable possible pour tous, on ne peut que féliciter tous ces patrons qui pensent à nous.

Car comme le disait Henry Ford : « Les deux choses les plus importantes n’apparaissent pas au bilan d’une entreprise : sa réputation et ses hommes ».

mercredi 4 juin 2014

La loi du 5 mars 2014 et la réforme de la formation professionnelle

Par Laura Leclère
Pour en savoir plus sur Laura : http://www.viadeo.com/profile/00220vg8uem1386y

Formation professionnelle : des droits nouveaux pour les salariés mais aussi des contraintes pour les entreprises

La toute récente loi du 5 mars 2014 change profondément le panorama de la formation professionnelle en France. 

En effet, elle crée des droits nouveaux pour les salariés, allège les obligations fiscales des entreprises, apporte des modifications structurelles au système actuel et impacte les entreprises dans le financement et la gestion de leurs politiques de formation.
Elle oriente les financements vers ceux qui en ont le plus besoin et donne une place accrue au dialogue social et à l’initiative du salarié.

Désormais les entreprises n’ont plus seulement l’obligation de payer, mais ont l’obligation de former. Un rôle nécessaire mais difficile à tenir.
Décryptage des changements.

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